La société est régie par des règles pour éviter que chaque citoyen se laisse aller à ces pulsions. C’est certainement le cas d’un ex-employé de l’industrie pornographique qui fait abstraction de ses règles. La justice n’a pas hésité à condamner le jeune à la prison à domicile.
Contexte de l’agression
Il n’est pas permis d’avoir ou de vouloir des rapports avec une femme non consentants. Auquel cas, ce serait un viol. L’agresseur n’est visiblement aller ay rapport, mais la jeune femme l’incrimine pour son comportement désinvolte et très audacieux.
L’affaire remonterait en 2017 alors que les deux partenaires se sont rencontrés sur Tinder. Bien qu’ils s’échangeaient des SMS très sensuels, la femme n’a jamais consenti à avoir des relations sexuelles avec le jeune homme de 27 ans. Il faudra dire que le jeune n’a pas interprété tout ceci de la même manière et s’est laissé aller à ses pulsions sexuelles.
Excuses du jeune homme
Après de tels actes, les excuses sont de rigueur, mais cette fois-ci elle n’était pas suffisante. La femme a porté plainte contre son agresseur. Devant la justice, ce dernier a plaidé coupable et reconnait ses torts. Cet acte de bravoure n’a pas empêché le juge de condamner le jeune homme par une sanction ferme.
Depuis quelques semaines, une filiale de MindGeek est critiquée pour ne pas interdire la diffusion des vidéos non consensuelles ou de pornographes juvéniles.
Casier judiciaire
Au cours de la plaidoirie, le jeune homme a imploré le juge pour ne pas avoir de casier judiciaire. Il faut dire que le moment des regrets est révolu et place à la sentence ultime. L’Organisation mondiale de la santé s’est servie de cette affaire pour faire un exemple et décourager les agresseurs et délinquants sexuels.
Le condamné est donc jugé à la peine de 9 mois de prison fermes à son domicile suivis de 18 mois de probation. Pour couronner le tout, il est inscrit sur la liste des délinquants sexuels pendant une décennie.