Si la mort reste un sujet qui suscite peur et respect de nos jours, on ne pourrait pas le dire de la pornographie. Les enfants sont victimes de ces films cout métrage. Les États se prononcent contre cet acte et mobilisent un gros budget pour concevoir un site web.
Lancement d’un portail web
Pour éviter que les enfants ne regardent les clichés de porno, il existe des applications pour le contrôle parental. Ces applications sont devenues un peu obsolètes et empêchent les parents d’avoir un parfait contrôle sur l’utilisation du web. Si cela avantage les magnats de l’industrie pornographique, l’État ne restera pas les bras croisés face à cette situation. Le gouvernement lancement avait lancé le mardi 2 février un portail web pour aider les parents dans le contrôle parental de leurs enfants.
La journée mondiale pour internet
Pour faire cette annonce, le gouvernement a choisi cette date mémorable pour aider ces parents en difficultés. Le site jeprotegemonenfant.gouv.fr est un portail pour la surveillance des enfants. Il faut noter que ces enfants sont exposés volontairement ou involontairement aux films pornographiques. Ce site regorge de contenu d’éducation à la sexualité et à l’ouverture des dialogues entre parents et enfants. La situation échappe au contrôle des parents et c’est le tour du directeur chargé de l’enfance et des familles et du numérique de prendre le relais.
Une situation catastrophique
Les statistiques de la pornographie infantile sont assez désastreuses. Une étude de 2018 révèle qu’un tiers des jeunes avant 12 ans ont déjà vu les films pornographiques. Cette étude nous révèle également que plus de 60 % des jeunes de 15 ans ont visionné un film pornographique et plus de 82 % âgé de 18 ans. Nul ne doute des conséquences de ces vidéos sur le mental des jeunes. Certains se livrent prématurément à ces actes et les conséquences sont irréversibles.